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Marlène BIOTTEAU

Maîtrise de psychologie du travail.

UFR Sciences de l’Education et Sciences Psychologiques.

Memoire

thanatopracteurs… « Cette rubrique ne comporte pas d’inscrit » 

Conséquences de l’absence de reconnaissance sociale, de l’insuffisance et de la non-application des conditions de travail, sur les conditions d’exercice du métier et la santé des thanatopracteurs.

Madame S. PRUNIER-POULMAIRE

Année 2003-2004

Université de Paris X Nanterre

Un mois d’août 2003 4

THEORIE 6

Chapitre 1. La thanatopraxie 7

1. Petit topo : définition, historique et quelques données 7

2. Quel contexte juridique pour la thanatopraxie ? 8

3. Les soins de conservation ? Qu’est-ce que c’est au juste ? 10

4. Un métier risqué ? 13

4.1. Le risque toxicologique 14

4.2. Le risque biologique 14

4.3. Le risque infectieux 15

4.4. Le risque de pathologie rachidienne 16

5. Conclusion 17

Chapitre 2. Perception occidentale de la mort, du cadavre et de la thanatopraxie 19

1. Du paléolithique moyen à aujourd’hui 19

2. Le mépris du corps et des professions s’y rapportant 23

3. Conclusion 24

Chapitre 3. Quelle identité pour les thanatopracteurs ? 25

1. L’identité sociale : une identité à deux pôles, à deux composantes 25

2. Identité positive ou identité négative ? 25

3. La morbidité psychosomatique, une stratégie identitaire ? 27

4. Conclusion 27

Chapitre 4. Un défaut de reconnaissance = une santé menacée ? 28

1. Le travail : facteur de santé et de danger 28

2. Deux jugements pour être reconnu 29

3. Quatre besoins d’être reconnu 31

4. La souffrance au travail : l’exemple d’une étude 32

5. Conclusion 32

Chapitre 5. L’épuisement professionnel, un symptôme institutionnel ? 33

1. Des signes insidieux 33

2. Une rupture entre les hommes et le cadre organisationnel 33

3. Conclusion 34

Chapitre 6. Synthèse, problématique et hypothèses 35

1. Une problématique…problématique 35

2. L’hypothèse de la pénibilité des conditions de travail 36

3. L’hypothèse d’une atteinte de la santé 36

4. L’hypothèse d’une absence de reconnaissance 36

METHODOLOGIE 37

Chapitre 1. Présentation du contexte de l'étude 38

1. Thanatopracteur…Cette rubrique ne comporte pas d’inscrit  38

2. Une situation de travail aux nombreuses facettes 39

2.1. Une gestion complexe du temps 40

2.2. La gestion de l’espace 41

2.3. Un cadre relationnel 41

2.3.1 Les familles 41

2.3.2. Les toiletteurs rituels 42

2.3.3. Les personnels d’accueil 42

2.3.4. Les pompes funèbres 43

2.4. Les aléas des soins 43

2.4.1. Les facilités techniques 43

2.4.2. Les caractéristiques des défunts 45

2.5. Le rituel 45

2.6. Une dimension émotionnelle 45

Chapitre 2. Les observations 47

1. Des observations nombreuses : le début d’une recherche 47

2. Un modèle à la rescousse 47

Chapitre 3. L’élaboration des fiches d’intervention 49

1. Présentation des fiches 49

1.1. Le descriptif 49

1.2. Les problèmes rencontrés 49

1.3. L’évaluation des conditions de travail 50

2. Contenu des fiches 51

2.1. Une formulation en négatif 51

2.2. Le point de vue de l’agent 51

3. Difficultés rencontrées dans la mise au point des fiches 52

4. Distribution des fiches et population 53

Chapitre 4. Les entretiens 54

1. Présentation de la grille d’entretien 54

1.1. Questions en lien avec l’hypothèse de la pénibilité des conditions de travail 54

1.2. Questions en lien avec l’hypothèse d’une atteinte de la santé 55

1.3. Questions en lien avec l’hypothèse d’une absence de reconnaissance 56

1.4. Questions annexes 57

2. Difficultés rencontrées : la grille de l’entretien et les entretiens 58

3. Passation des entretiens et population 58

Chapitre 5. Méthode de traitement des données 60

1. Le logiciel Statview 4.5 60

2. Objectifs : rechercher des liens 60

3. Les tableaux de contingence 60

4. Une analyse de contenu avant la cotation 60

Résultats et Discussion 61

Chapitre 1. Analyse des résultats 62

1. Les résultats des fiches d'intervention 62

1.1. Les éléments de la partie « descriptif » 62

1.2. L'aspect relationnel 64

1.3. Les équipements, l’état des locaux et la catégorie « divers » 66

2. Les résultats des entretiens 70

2.1 Les maux de dos, les piqûres percutanées 70

2.2 Les relations professionnelles, les projets professionnels 71

2.3. Résultats supplémentaires 73

Chapitre 2. Discussion 75

Conclusion 83

Critiques 85

Bibliographie 87



Un mois d’août 2003

Le dernier bilan démographique de 2003 fait état d'une hausse sensible du nombre des décès (560 300). Ce niveau n'a jamais été atteint depuis 1985. A l'origine : une vague de chaleur entraînant avec elle plus de 15 000 morts en quelques jours. Cette actualité, touchant de plein fouet l'opinion publique, soulève aujourd'hui quantités d'interrogations tant sur le plan de la mort et de ses circonstances, que sur le plan de la prévention, de la gestion, de l'organisation, et de l'information qui en est faite.

Le relais médiatique, pointant des carences institutionnelles dans la prise en charge des personnes âgées, dans un contexte climatique exceptionnel, a suscité des réflexions, actuellement en cours d'étude, portant, bien évidemment, sur les moyens à mettre en œuvre pour préserver les personnes âgées d'un tel drame. Cependant ces préoccupations, primordiales, ont occulté un autre problème de fond : celui de la gestion et de la prise en charge d'une augmentation massive des décès. L'origine de la catastrophe d'août 2003 peut, en effet, s'articuler en deux temps : un premier lié à l'absence de locaux adaptés aux températures excessives et durables et à un déficit de personnel dans le secteur de la gérontologie ; et un second portant sur la lenteur administrative du secteur funéraire et l'insuffisance de structures mortuaires d'accueil.

L'urgence est d'autant plus grande que, d'une part, aucune réponse concrète n'a été apportée concernant la gestion et la prise en charge d'une augmentation massive des décès et que, d'autre part, les prévisions démographiques laissent entrevoir un accroissement des décès dans les années à venir, sans compter sur des résurgences de réchauffement ou de refroidissement des températures. Par exemple, les personnes de plus de 65 ans représentent 16,2 % de la population, près de 10 millions d'individus qui décéderont probablement dans les 10 à 20 prochaines années - l'espérance de vie se situant à 74,2 ans pour les hommes et à 82,8 ans pour les femmes- génération suivie de prés par celle du baby-boom (35 % de la population française estimée à 61,7 millions d'habitants). Autant de chiffres qui justifient l'importance d'étudier un secteur funéraire peu médiatisé et relégué aux rubriques nécrologiques.

La polémique suscitée par l'été dernier révèle, entre autre, une méconnaissance des intervenants du secteur funéraire. Les nombreux professionnels impliqués dans la prise en charge de la mort ont été au centre du mois d'août 2003- de ce qu'ils nomment eux-mêmes l'enfer, d'une hécatombe révélatrice de leur difficulté à exercer leur métier, de leurs conditions de travail et de leur impuissance face à un système vieillissant et inadapté aux nouvelles donnes de cette société. Cette recherche souhaite faire la lumière sur une de ces professions de l'ombre : celles des thanatopracteurs.

Cette recherche exploratoire envisage la thanatopraxie à travers sa composante juridique, sa technicité et les risques rencontrés. C'est, avant tout, dans une perspective de psychologie du travail, que sont abordés les concepts de reconnaissance, d'identité sociale, d'épuisement professionnel, de perception occidentale de la mort ; en vue de les mettre en parallèle avec les conditions de travail des thanatopracteurs et leur état de santé.

C'est pourquoi, dans une première partie, intitulée « théorie », tous ces concepts et ces données sont décrits, expliqués, analysés en vue d’aboutir à une problématique de recherche et à l'élaboration d'hypothèses.

Une seconde partie, la « méthodologie », relate les différents moyens mis en oeuvre dans cette recherche pour tester les hypothèses. Sont détaillés, par exemple, les outils ayant permis de recueillir les données validant ou infirmant les hypothèses.

Enfin, une partie « résultats et discussion » détaille et interprète les résultats récoltés tout en apportant un éclairage sur les hypothèses formulées.

Cette recherche se conclut, bien évidemment, par une synthèse de cette dernière tout en remettant en question dans « critiques », les différents manquements et faiblesses de l’étude.

THEORIE

Chapitre 1. La thanatopraxie1

1. Petit topo : définition, historique et quelques données

La thanatopraxie (du grec thanatos : génie de la mort et praxere : manipuler, traiter) est un ensemble de moyens et de techniques mis en œuvre, par un thanatopracteur, pour la conservation des corps des personnes décédées. L'embaumement égyptien en est la forme historique, mais en diffère très grandement. La forme moderne, telle que nous la connaissons aujourd'hui, est apparue en France en 1963. Le terme de thanatopracteur2 est un néologisme français, le terme originel étant celui d'embaumeur.

Cette profession, très jeune, ne compte que 1015 diplômés3 depuis 41 ans. Peu de données sont disponibles, mais les professionnels de la thanatopraxie estiment qu’il y aurait actuellement entre 350 et 450 thanatopracteurs praticiens sur le territoire français. Les soins de thanatopraxie (ou de conservation) rentrent dans le cadre des services extérieurs des pompes funèbres, au même titre que la fourniture des cercueils ou des corbillards4. Cette appartenance aux services extérieurs et cette position (des thanatopracteurs) de sous-traitants des pompes funèbres résultent d’un contexte historique. Au début des années soixante, trois français, appartenant au secteur funéraire et formés dans les pays anglo-saxons, introduisent cette pratique en France et la renomment pour tenter d'évincer la connotation trop prononcée des rites d'embaumements égyptiens5. Ces importateurs en font, alors, une spécificité et un service des pompes funèbres.

Les soins de conservation actuels répondent à plusieurs buts : l'hygiène, la préservation et la présentation des personnes décédées en vue de l'exposition. Les organes ne sont jamais prélevés, il ne s'agit en aucun cas d'une autopsie, mais d'un travail de préservation et d'un acte visant l'amélioration de l'aspect du défunt. Ils permettent de retarder les effets de la thanatomorphose (décomposition du corps) et de la transformation du corps suite au décès, par l'injection de 4 à 6 litres d'un liquide antiseptique et d’une ponction des liquides physiologiques.

Cette pratique se développe du fait de l’augmentation des souscriptions de contrats obsèques (les soins de conservation étant inclus), de l'éclatement géographique des familles et des changements de rituels funéraires- la crémation n'excluant pas un acte de thanatopraxie, car elle nécessite au même titre qu'une inhumation la réunion de familles géographiquement dispersées.

2. Quel contexte juridique pour la thanatopraxie ?

Des soins de conservation sur un défunt peuvent donc être à l'origine d'une demande de la famille (auprès des services des pompes funèbres), ou de l'exécution d'un contrat obsèques. Cela nécessite la non-opposition légale portée sur le certificat du médecin ayant constaté le décès, une autorisation signée de la famille et une autorisation de soins délivrée par la mairie. Mais aussi, la présence d'un fonctionnaire de police, du garde champêtre ou d'un agent de police municipale pour assister en permanence à l'opération (ce qui donne lieu à paiement d'une vacation), et constater la remise d'un échantillon du produit utilisé par le thanatopracteur sur le défunt (en cas d'autopsie)6.

Il existe, cependant, des obligations législatives de faire effectuer des soins de conservation, et ce, malgré la volonté ou le culte de la famille ou du défunt. Ces soins sont exigés, par exemple, lors d'un transfert sans cercueil effectué entre 24 et 48 heures après le décès (que ce soit, vers le domicile du défunt, de sa famille ou vers une chambre funéraire)7, ou lors de rapatriement vers certains pays8. Ces obligations n’interfèrent par avec la position de la religion chrétienne (de confession catholique, protestante ou orthodoxe), qui accepte la pratique de la thanatopraxie. En revanche, elles peuvent devenir problématique si le défunt est de confession juive ou musulmane. En effet, le judaïsme tolère les soins de conservation, sous certaines conditions et uniquement pour le retour de cercueils en Israël ; l’islam les interdit (exception faite pour le rapatriement d'un cercueil vers certains pays). Les thanatopracteurs sont parfois confrontés au refus des familles face à ces obligations. Ils doivent faire preuve d’une grande diplomatie, d’une certaine pédagogie et d’adaptation pour obvier aux rejets et aux hostilités.

A contrario, les soins sont proscrits lors d'un décès avec obstacle médico-légal, d'un accident du travail, d'une maladie professionnelle ou d'une atteinte de certaines affections9 comme le charbon*, le choléra, les fièvres hémorragiques virales*, l’hépatite virale, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, la peste*, la rage, l’infection à VIH, la variole et autres orthopoxviroses*, et tout état septique grave sur prescription du médecin traitant. Néanmoins, l'arrêté du Conseil d'Etat du 8 novembre 1999 autorise à nouveau les soins de thanatopraxie pour les états septiques graves, les hépatites A confirmées et la maladie de Creutzfeldt-Jakob.

Les thanatopracteurs sont titulaires d’un diplôme national10 depuis 1994 et disposent d’une capacité professionnelle pour réaliser des soins de conservation, après avoir suivi une formation théorique et pratique auprès d’instituts et de thanatopracteurs habilités11 ; les thanatopracteurs, ayant pratiqué avant 1994, ont pu obtenir une équivalence du diplôme12. Toutefois, actuellement, aucune carte professionnelle ou document type diplôme ne permet de justifier d’une habilitation à pratiquer des soins de conservation13.

Les thanatopracteurs exercent de façon ambulatoire, ils se déplacent et interviennent dans les chambres funéraires (partie intégrante d’un funérarium, ayant pour objet de recevoir, avant l’inhumation ou la crémation, le corps des personnes décédées), les maisons de retraite, les chambres mortuaires (anciennes morgues, présentes dans les établissements de santé publics ou privés dès lors qu’ils enregistrent un nombre moyen annuel de décès au moins égal à deux cents), les instituts médico-légaux (I.M.L.) pour des soins à pratiquer après une autopsie, et au domicile des particuliers.

Seuls, les funérariums doivent se soumettre à des dispositions particulières14 (table de préparation, évier ou bac à commande non manuelle, dispositif de désinfection des instruments à soins, surface au sol d’au moins 12 mètres carrés, dispositif de ventilation, etc.) pour accueillir ces professionnels ; et ce, bien que la production de déchets d’activité de soins à risques infectieux (D.A.S.R.I.), générée lors de soins de conservation, soit soumise à une législation très stricte15. Les D.A.S.R.I. sont des déchets issus, entre autre, des activités de thanatopraxie. Ils présentent, soit des risques infectieux, du fait qu'ils contiennent des micro-organismes viables ou des toxines, à l’origine de maladies chez l’homme ou chez d'autres organismes vivants ; soit, d’autres risques (non infectieux), liés aux matériels et matériaux piquants ou coupants (ayant été ou non en contact avec un produit biologique), aux produits sanguins ou aux déchets anatomiques humains.

La législation et la définition des déchets de soins à risques infectieux octroient indirectement un cadre de travail aux thanatopracteurs (équipements spécifiques destinés aux D.A.S.R.I. ou certaines conditions d’hygiène) pour prévenir ou éliminer les risques potentiels, infectieux ou non. Ce cadre de travail, non définit dans la plupart des lieux d’intervention des thanatopracteurs, apparaît d’autant plus indispensable que les soins de conservation, d’une durée d’une heure trente en moyenne, se composent d’une phase de type médicochirurgicale durant laquelle les soins, stricto sensu, ont lieu via une procédure lourde (les deux autres phases permettant la préparation et la présentation du corps), et que cette phase pourrait être qualifiée d’acte opératoire à la vue des techniques employées.

3. Les soins de conservation ? Qu’est-ce que c’est au juste ?

La chronologie de ces procédés, détaillée dans la section ci-dessous, varie en fonction des professionnels, des problèmes rencontrés ou de demandes particulières des familles. Par conséquent, la description suivante est de type académique et à titre informatif, elle ne fait en aucun office d’une représentation complète des soins de conservation.

  • Tout d’abord, le thanatopracteur procède à un nettoyage complet du défunt pour obtenir une asepsie externe du corps en vue d'éliminer les germes et les bactéries (situés en surface). Puis, il casse les rigidités cadavériques (environ 10 minutes).

  • Cette première étape terminée, le thanatopracteur entame la phase la plus technique et la plus longue (environ 50 minutes) de son intervention. Il vérifie, tout d'abord, la présence éventuelle d'un pacemaker (ou prothèse cardiaque à pile) qu'il extraira le cas échéant16. Puis il met en place un système composé de pompes manuelles, reliées directement à deux bocaux, chacun d'eux, à leur tour, reliés soit à un tube artériel, soit à un tube de ponction17. Un des deux bocaux permettra la récupération des liquides physiologiques (vide au départ), le second contiendra le fluide de conservation (environ 4-5 litres) qui sera injecté. Dans le cas de l'injection, le système, muni d'une pompe injection, insuffle de l'air dans le bocal, ce qui permet d'injecter le fluide de conservation dans l'artère carotide ; dans le cas de la ponction, le système, doté d'une pompe aspirante, chasse l'air, présent dans le bocal, ce qui permet d'évacuer et de récupérer les liquides physiologiques.

  • Avant d'utiliser le système de pompes manuelles, le thanatopracteur pratique une incision dans le creux claviculaire. Contrairement à la croyance populaire, une simple incision, d'environ cinq centimètres, près de la clavicule, suffit. Il prélève (soulève) l'artère carotide (par laquelle la solution préservatrice sera injectée) et la veine jugulaire (par laquelle le sang sera évacué).

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